January 6th Was An Inside Job: Kevin McCarthy And Tucker Carlson Are American Hero's!
Join me on the front lines of the information war, for an epic expose of the January 6th inside job!
#QueenMaatGirl #january62021 #InsideJob #tuckercarlson
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" L’incident de Mukden en 1931, planifié par l'Empire japonais qui accuse la Chine d’avoir perpétré l’attentat, donnant ainsi le prétexte à l’invasion immédiate du sud de la Mandchourie par l'armée impériale japonaise2.
L’opération Himmler le 31 août 1939 : de prétendus soldats polonais attaquent un émetteur radio en territoire allemand. L'opération est en réalité montée de toutes pièces par les Allemands pour servir de prétexte à l’invasion de la Pologne par l'Allemagne2,3.
L’incident de Mainila le 26 novembre 1939 : pour justifier une invasion de la Finlande, l'artillerie soviétique bombarde les environs du village russe de Mainila (ru), proche de la frontière, tuant quatre soldats de l'Armée rouge. L'Union soviétique accuse l'artillerie finlandaise et exige des excuses de la Finlande. Cette dernière ne cède pas et l'URSS résilie deux jours plus tard le pacte de non-agression entre les deux pays puis franchit la frontière le 30 novembre2.
L'opération Greif, dirigée par le lieutenant-colonel SS Otto Skorzeny pendant la bataille des Ardennes en décembre 1944. Montées sur Jeeps, huit équipes de quatre hommes chacune s'infiltrent loin derrière les lignes américaines et sèment le désordre, et parfois la panique, par leurs fausses indications et informations. Pour avoir commandé cette opération commando, Otto Skorzeny est poursuivi, ainsi que ses hommes, pour crime de guerre et subit un procès à Dachau (il est finalement acquitté, les ordres donnés ayant été de quitter l'uniforme américain avant d'engager tout combat)4.
De 1946 à 1948 : les autorités britanniques font mener des attaques contre des navires transportant des juifs immigrant en Palestine. Un faux groupe dénommé « Défenseurs de la Palestine arabe » revendique ces attaques2.
Opération Ajax en 1953 : la CIA et le MI6 britannique organisent le renversement du premier ministre iranien Mossadegh. Ils organisent notamment des attaques terroristes afin d'en accuser les communistes et déstabiliser le pays2.
L'affaire Lavon en 1954 : un réseau israélien constitué de 13 Juifs égyptiens commit une série d'attentats à la bombe incendiaire contre des édifices britanniques et américains au Caire et à Alexandrie. L'objectif était que ces actes de terrorisme soient attribués aux nationalistes égyptiens afin d'empêcher tout rapprochement entre l'Égypte nassérienne et les puissances anglo-saxonnes5.
Le Pogrom d'Istanbul en 1955 : afin de précipiter le départ des minorités grecques, juives et arméniennes d'Istanbul. Le gouvernement Turc organisa un attentat à Thessalonique sous fausse-bannière afin d'en accuser les grecs6.
L'opération Strasbourg : un attentat au colis piégé est organisé par la Sécurité d'État tchécoslovaque sous fausse bannière néonazi visant le préfet André-Marie Trémeaud et des ministres présents à une réunion de la CECA à Strasbourg en mai 19577.
L’opération Northwoods : un projet de 1962 qui consiste notamment à organiser d’une série d’attentats contre les États-Unis par l’état-major interarmées américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain. Le but est de justifier aux yeux de l’opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d’obtenir l’appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales. Révélée par des documents officiels déclassifiés en 1997, l’opération n'a jamais été mise en œuvre car le président J.F. Kennedy s’y opposa.
De 1979 à 1983 : une unité secrète du commandement régional du Nord de l'armée israélienne mène une campagne à large échelle d’attentats à la voiture piégée qui tue des centaines de Palestiniens et de Libanais, civils pour la plupart, revendiqués par le « Front pour la libération du Liban des étrangers » (FLLE). Le général israélien David Agmon indique qu'il s'agissait de « créer le chaos parmi les Palestiniens et les Syriens au Liban, sans laisser d’empreinte israélienne, pour leur donner l’impression qu’ils étaient constamment sous attaque et leur instiller un sentiment d’insécurité ». Le chroniqueur militaire israélien Ronen Bergman précise que l'objectif principal était de « pousser l’Organisation de libération de la Palestine à recourir au terrorisme pour fournir à Israël la justification d’une invasion du Liban8 ».
Le prétendu groupe sioniste Mouvement d'action et défense Masada organise un attentat à la bombe contre une librairie parisienne de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) en octobre 1972 et deux autres attentats à Cannes et à Nice en 1988, avant que ses membres soient arrêtés en 1989. Avec ces attentats, ce groupe (en réalité néo-nazi) cherche à attiser la haine entre les juifs et musulmans de France9
Dans des enregistrements divulgués en 2014, le chef des services de renseignement turcs suggère de faire tirer des roquettes depuis la Syrie vers la Turquie afin de justifier une action militaire en représailles10.[Quand ?]
Durant la campagne sénatoriale de 2017 aux États-Unis, le candidat républicain Roy Moore est victime d'une désinformation par fabrication de faux « robots russes ». Des experts technologiques de tendance démocrate créent des centaines de comptes Twitter en langue russe qui suivent Moore. Ces experts créent aussi une page Facebook où ils se présentent comme des conservateurs et cherchent à diviser les républicains. Dans un rapport du groupe, vu par le New York Times, on lit : « Nous avons orchestré, de façon élaborée, une opération sous fausse bannière qui a implanté l'idée que la campagne de Moore était amplifiée sur les médias sociaux par un réseau de robots russes. » Un des auteurs de cette opération sous fausse bannière est Jonathon Morgan, directeur de New Knowledge (en), une firme de sécurité qui a écrit sur les ingérences russes dans les élections de 2016 un rapport très accusateur (« scathing ») publié en décembre 2018 par le Senate Intelligence Committee. Jonathon Morgan ne nie pas les faits, mais les présente comme une expérience de faible envergure visant à comprendre comment cette sorte d'opération fonctionne "